Menu

En chemin

Je suis en chemin vers la communication responsable. Entre la balade et l’expédition, j’enrichis cette démarche au gré de mes rencontres et de mes lectures.

En tant que communicante, je peux agir de deux manières. D’abord, en menant des actions de communication qui soutiennent des messages qui vont dans le sens de l’intérêt général. Ensuite, au-delà des discours et des mots qui constituent la partie visible de mon métier, par l’utilisation d’outils de travail et de supports de communication qui se mettent au service des projets engagés. Ces deux aspects de mon métier sont les leviers que j’utilise pour contribuer à mon niveau aux changements de notre société.

Voici trois axes qui guident mes réflexions sur ce chemin.

La sobriété éditoriale

Dire l’essentiel et le dire bien
En tant que rédactrice, il s’agit tout simplement de s’engager à proposer un contenu de qualité qui repose sur un propos fort et qui veille à transmettre le message de la manière la plus pertinente possible.

Le numérique responsable

Des clics éthiques
Mon métier est résolument numérique et connecté. Du traitement de texte, en passant par les mails, les recherches internet ou encore les réseaux sociaux, j’ai ressenti le besoin d’évaluer mes pratiques pour éclairer les choix des outils que j’utilise. Il s’agit d’un côté d’avoir une meilleure maîtrise des services que je propose, mais aussi de faire en sorte que mes outils de travail soutiennent autant que possible la direction que je souhaite donner à mon métier et les messages de mes clients.

Les basses technologies (low tech)

Haut potentiel résilient
Dans le prolongement du numérique responsable, j’ai redécouvert la notion de low tech, cette fois-ci associée au numérique. Les basses technologies représentent des solutions techniques (et pas forcément technologiques) qui cherchent à être simples, bien pensées, bien dimensionnées et réparables. Elles sont peu gourmandes en énergie, respectent l’environnement et privilégient l’emploi de ressources locales.
Parmi les nombreuses possibilités qui permettent de faire un site internet par soi-même, l’apparente simplicité des solutions proposées cache souvent une complexité de développement qui alourdit. J’ai pensé ce site internet en m’appuyant sur cette notion. J’ai réfléchi aux besoins liés à ce site et à la manière dont je pouvais y répondre le plus simplement possible de sorte à le rendre le moins énergivore possible. Par exemple cette page pèse 15 ko.

Le chemin est long et le sujet passionnant, j’alimenterai régulièrement mon blog sur ces thématiques.


Un mot sur le bout de la langue ?

elise[a]kosmots.fr

06.77.16.14.26